| Sujet: Cyrcam ▬ Your life is an occasion. Take it ! [Terminé] Dim 20 Déc - 0:08 | |
| ▬ CYRCAM
The Wolf side of you Age ▬ 4 ans Sexe ▬ Mâle Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuel Groupe ▬ La Pègre Race▬ Croisé Malamute & Elk Hound Lignée ▬ Issu de lignées working Spécialité ▬ Sports de tractions Statistiques
Puissance : 4/5 Agilité : 3/5 Intelligence : 3/5 Charisme : 3/5
ça se corse ! Caractère:▬ Cyrcam est un chien sûr de lui. Il a une pleine connaissance de ses capacités mais aussi de ses limites, ainsi il ne prendra jamais de risque inconsidéré et ne présumera jamais de ses forces, à l’exception de ses sorties sportives avec son maître, sachant pertinemment que l’humain privilégierai le dépassement de soi plutôt qu’une mise en danger possible de son fidèle compagnon. Car oui, Cyrcam était tout entier dévoué à son humain. Il n’est pas du genre à être une de ces boules de poils collantes et avide de caresse, il avait plus le profil d’une force tranquille, fier et indépendant, mais ayant toujours un œil ou une oreille dans la bonne direction.
Il a beau avoir l'air solide et pouvoir encaisser tous les chocs que sa chienne de vie lui mettrait sur la route, ce n'est pas le cas. Cyrcam ne supporte pas l'utilisation des méthodes coercitives. Les ayant subit parfois avec ses anciens maîtres, mais aussi pour les avoir vues à l'œuvre autant sur les chiens de travail que d'expositions. Un choc électrique, un coup venant d'un collier à piques lacérant ses chairs, une pendaison au bout d'une laisse, un coup dans l'estomac... Certains jugeraient cela sans gravités. Les idiots. Chaque chien méritait un maître qui récompense plutôt que puni. Subir cela à nouveau le terrifie, le tétanise. L'idée même de subir cela à nouveau le change en une boule de peur, un danger potentiel.
Il est comme une ombre, suivant son maître dans ses moindres déplacements et n’ayant pas besoin d’une laisse pour le suivre. Cyrcam est un chien qui s’épanouit dans le travail et qui ne jure que par cela afin de déterminer les qualités d’un chien. C’est pourquoi il n’est pas friand des chiens d’expositions bien que tolérables pour certains, pourtant il ne peut pas supporter les membres du Kutie Club qu’il juge être de petites teignes qui ne sont pas dignes d’interagir avec lui ou même d’être appelés des chiens. Il méprise les humains qui mettent trop en avant ces chiens d'expositions cassés, préférant des beaux chiens à des bêtes fonctionnelles.
Concernant ses congénères, il n’est pas vraiment belliqueux, ayant même une bonne connaissance des codes de communication canine. Mais cela n’empêche pas de subir la réputation acquise pas son père et ancien chien de combat, Sikstor. Il n'aime pas vraiment les sessions de jeux canins, il les tolère venant des chiots, car ils ne savent pas encore reconnaître quand les autres ont envie ou non de jouer avec eux, mais celles initiées par les adultes, il ne décline souvent avec toute la suffisance dont il est capable. Il est un chien de travail et il n'a pas le temps de badiner avec eux.
Cependant, le fait qu'il soit parfois ouvertement méprisant ne veut pas dire qu'il reste insensible aux malheurs des autres. Un chien dans le besoin trouvera toujours son soutien sauf si se dernier se prend pour une Diva des temps modernes et en joue pour s'attirer quelques faveurs. Il est pur dans ses amitiés, mais aussi dans ses haines, aussi n'hésiterait-il pas à remettre en place cet impudent.
Histoire: ▬ Quand on voulut lui apprendre la douceur, il était déjà trop tard. Il ne naquit pas durant l’âge d’or d’Ithaque, où tout était encore idyllique, parfait, resplendissant ; quand il ouvrit les yeux sur le monde, il ne vit que pourriture et désolation. Mal né, il avait hérité comme premier lieu de villégiature des bas-fonds de la ville, aussi sombre que la nuit et hermétique que l’espace. Tout est sourd aux hurlements et aux supplications.
Passé de mains en mains depuis sa naissance, soit disant un chiot prometteur. Promis aux cris et au sang versé pour quelques minutes de distractions. Un jouet vivant. Un outil. Heureux car n’ayant pas connu un sort aussi terrible que celui de son père. Il devra se contenter de cette consolation. Les humains d’Ithaque prirent au moins le soin de la socialiser de façon correcte. Peut être avaient-ils un soupçon de conscience ou même de la maladresse, mais cela eut pour conséquence de ne pas faire de lui un chien belliqueux, refusant de lutter contre ces bêtes assoiffées de sang. Il fit perdre beaucoup d’argent à ses premiers propriétaires, aussi prirent-ils la « difficile » décision de le vendre au plus offrant, ses origines faisant également de lui un chien pouvant servir pour le travail de traction.
Fougueux et fort de sa première année, il prit plaisir à faire ce travail et à voir se développer force et muscles. Au fil des mois, sa puissance et son agilité prirent en ampleur, et sa fréquentation des autres chiens de ce nouveau lieu de vie, qui n’était pas parfait mais toujours mieux que le précédent, améliorèrent encore ses capacités à lire et décrypter les signaux de communications de ses pairs. Il n’était pas un virtuose en la matière, mais avait assez de connaissances pour se débrouiller et désamorcer une situation pouvant devenir difficile.
Son air lupin plaisait. Peut-être même un peu trop. Souvent, les enfants passant près de la ligne de repos à laquelle lui et les autres étaient attachés avaient du plaisir à venir les tripoter beaucoup trop longtemps. Une oreille tirée, un coup brusque donné sans « le faire exprès ». Les enfants étaient très vite devenus sa bête noire, et il les évite autant que possible, se refusant de mordre un mollet tendre et de se retrouver mort le lendemain. Il appréciait trop le fait d’être en vie pour commettre une telle erreur.
Et puis, un jour, il en eut assez. Il était las de ce train de vie, balancé entre le travail et la morsure du vent hivernal. Il était certain de mériter mieux que ça. Cette idée germa de plus en plus dans son esprit sans jamais que rien ne se passe. Trop de questions et d’obstacles. Que devait-il faire ? Rester chien et prisonnier ou devenir ce loup libre décrit par le poète ? Il était loin de toute civilisation, et, derrière la bâtisse qui servait de maison à son musher, la forêt semblait l’appeler de plus en plus fort. Son chant mystérieux et envoutant s’infiltrait de plus en plus loin en lui, un poison qui faisait battre son cœur plus vite et qui le faisait lancer ses pattes plus fort quand il en foulait le sol, tractant le traineau jadis symbole d’une vie nouvelle et qui était devenu de plus en plus lourd.
Il allait presque sur ses quatre ans quand il brisa cette routine et cette frustration. Ce désir de liberté l’avait rendu inapte au travail, causant une trop forte dissipation, aussi préféra-t-on le congédier. Il se retrouva en chenil. Quatre murs austères et froids, un toit de tôle, et le froid qui s’insinuait en lui. Il avait beau tourner en rond, gratter la plaque de béton qui couvrait le sol, rien ne semblait fonctionner. La porte, faite de barreaux solides, résista à tous ses assauts. Alors il se coucha et attendit, apathique, éteint. Et, l’automne de ses quatre ans, comme un miracle, une tempête couvrit Ithaque de son manteau de nuage, le vent hurla sa colère, et la tôle s’envola.
Enfin libre, il puisa dans les forces qui lui restait encore pour sauter par-dessus le mur (somme toute assez bas) et rejoindre la forêt, qui se révéla être un parc. Mais toujours mieux que le chenil. Alors il y déambula un moment, trouvant un grand réconfort dans la pensée de ce nouveau foyer. Cependant, cela ne prit pas beaucoup de temps avant qu’il ne remarque que la fréquentation du lieu était très hétéroclite. Il fit la connaissance de nombreux chiens, qu’ils soient de lignées d’expositions ou de travail, et ne mit pas longtemps avant de se forger l’avis que les chiens comme lui valaient mieux que les autres. La tendance était à croire l’inverse, mais il ne pouvait décidément pas comprendre pourquoi les humains se plaisaient à se trimballer en bout de laisse un chien incapable de renifler un écureuil qui lui est passé sous le nez, ou même de comprendre pourquoi certains chiens refusaient de se rouler une bonne fois dans la boue car « se salir est une chose dégradante ».
Il se promit alors de tenter de changer les choses et de rétablir les règles normales du jeu entre les chiens et les hommes.
côté canin Le maître idéal ▬ Le maître idéal serait un sportif qui apprécierait de courir à ses côtés., une personne qui ne prendrait pas en compte ses origines bâtardes pour l’apprécier. Il ne préfère pas vraiment un homme ou une femme tant que cette personne reste droite et cohérente avec lui et les consignes mises en place dans la maison. Une place sur le canapé est un plus, les chenils ne sont pas pour lui. Propriété de ▬ A venir ! Aspirations ▬ Montrer aux habitants d’Ithaque que les croisés peuvent avoir autant de valeurs qu’un chien de pure race.
derrière l'ordi je suis... Pseudo ▬ La Carte Kiwi ! (Mais si c’est possible !) Parrain ▬ Neal (Oui je sais ca fait kikou ) Code ▬ validéééé (neal) Quelque chose à dire ? ▬ L’enfant de moins de 16 ans et ceux qui l’accompagnent jusqu’à 4 personnes paient tous moitié prix !
Dernière édition par Cyrcam le Mar 22 Déc - 0:44, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Cyrcam ▬ Your life is an occasion. Take it ! [Terminé] Dim 20 Déc - 0:22 | |
| Moitié prix ? C'est pas possible !
BREF on te laisse finir l'histoire et tout ça ♥ jte mets ta réput et ton groupe en attendant
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| Sujet: Re: Cyrcam ▬ Your life is an occasion. Take it ! [Terminé] Dim 20 Déc - 0:25 | |
| Merci :D Je finirai ça demain sans doute, le ventre plein de chinoiseries ! °A°
Edit : finalement je l'ai faite ce soir héhéhé ! Bon par contre je relierai VRAIMENT demain pour les fautes x) . . . MAIS SI CEST POSSIBLE AVEC LA CARTE KI.... *SBAF* |
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| Sujet: Re: Cyrcam ▬ Your life is an occasion. Take it ! [Terminé] Sam 2 Jan - 1:12 | |
| Oups on avait pas validé tout ça officiellement DONC HERE YA GO et je t'ajoute tes points :) |
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| Sujet: Re: Cyrcam ▬ Your life is an occasion. Take it ! [Terminé] | |
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